Datant du XIe siècle, le restaurant se trouve dans le Parc Naturel de Peña de Aia (les trois couronnes), à 10 minutes des plages de San Sebastien, Hondarribia et Hendaye, avec des itinéraires de promenades en vélo et de randonnée sur les anciennes voies ferrées des mines d’Arditurri.
-Salle à manger, bar et terrasse fermée climatisés
-Salle à manger spacieuse où vous pourrez déguster nos meilleurs plats
-Grand Parking
-Table à langer
Situation
Situé dans un cadre exceptionnel sur les rives de la rivière Oiartzun
Le restaurant est situé dans un cadre exceptionnel sur les rives de la rivière Oiartzun, au pied de Peñas de Aia, dans le parc naturel Aiako Harria est situé à l’extrémité orientale du territoire historique de Gipuzkoa. Il s’étend depuis la rivière Bidasoa à la rivière Urumea, étant la limite Sud de la Navarre. Situé dans la zone géographique de la région Atlantique, on peut distinguer plusieurs secteurs en fonction de ses caractéristiques environnementales.
Compte tenu de son emplacement au pied des Pyrénées, le massif Aiako Harria est le premier écran de condensation d’humidité apportant des masses d’air du Golfe de Bizkaia, et produisant d’abondantes pluies.
Les fermes sont rares dans les environs et sont clairsemées. La proximité des villes d’Hondarribia, Irun et Donostia dans la partie orientale de Gipuzkoa fait que cet espace maintient une importante fonction récréative, étant très populaire auprès des randonneurs, grimpeurs et des adeptes du pique-nique.
Histoire
Les anciens habitants d’Olaitz devaient se dédier aux pâturages depuis des temps immémoriaux. Le préfixe « ola » est synonyme de cabane. C’est ce que nous confirme leur activité économique ancienne avant que, comme dans d’autres maisons d’Oiartzun, on se consacre au travail du fer avec des procédures primitives, c’est-à-dire à la force des bras (« agorralak »).
Dans le quartier d’Ergoien au bord de la rivière Oiartzun on se trouve face à la maison où sont nés le nom et le premier Olaizola. Tous les Olaizola proviennent de cette maison; c’est l’un des rares noms basques auxquels on peut attribuer véritablement l’origine, avec l’appui de données de l’évolution socio-économique du pays.
La maison est très proche des ruines de l’ancienne forge du même nom. On conserve encore le barrage qui servait à canaliser l’énergie hydroélectrique. Dans les murs du bâtiment, maintenant converti en «jatetxe», on peut voir plusieurs fenêtres lobées, indices clairs de l’époque de sa construction.
L’historien Lekuona poursuivi: «Nous ne savons pas quand les Olaitz ont commencé à travailler le fer, mais on peut le situer au Moyen Age, entre les 11èmes et 12èmes siècles, peut-être plus tôt. Plus tard, l’application de l’énergie hydroélectrique entra dans la vallée pour les forges.
Certains disent que cette nouvelle technologie était venue directement de Navarre, d’autres croient qu’elle vint par le chemin de Saint Jacques de Compostelle, dans notre cas cette dernière option semble la plus probable, si on considère le passage par Olaizberri comme une étape des «chevaliers» qui faisaient le pèlerinage à Saint-Jacques.
Un des ancêtres Olaiz decida de moderniser son industrie, en la descendant des hauteurs vers les berges de la rivière Oiartzun à seulement 500 mètres et ainsi fonda la nouvelle (Gabiola), la nommant OLAITZ-OLA entre les 14ème et 15ème siècles. Le suffixe «ola» signifie, dans ce cas, la fonderie (la forge d’Olaitz). Vous voyez donc que, entre le premier et le second «ola» il n’existe aucune tautologie.